Speakers: Bernard Ourghanlian, Frédéric Dittmar, Rafi Haladjian, Yves Ubelmann, Henri Seydoux
Cette session est le rappel de l’évolution technologique permettant de passer du :
- Passage de things to everythings
Le Cloud, la mobilité, la réduction de taille, l’augmentation de la puissance et la capacité d’analyse via le Big Data permettent d’ajouter de la valeur à de plus en plus de scénarii de vie, par exemple :
- La table IKEA WiFi devenant télécommande tactile
- Fenêtre connectée (affichage météo fournie par le Cloud et composant Netatmo, pilotage gestuel, …)
La seconde question essentielle est la réduction d’énergie imposée par notre évolution et qui ne peut être effectué que via les technologies et les interconnexions (Ex. IssyGrid)
Les villes sont de plus en plus grandes et rassemblent de plus en plus de monde avec tous les effets secondaires associés (ex. la densification, …). Les bouchons et la pollution sont une opportunité pour les objets connectés, tels que Bolloré et la voiture électrique en autopartage.
Les campagnes ne sont pas en reste, car elles fournissent les matières premières alimentaires pour l’ensemble de habitants. Les besoins sont croissants et la seule solution est d’augmenter le rendement de ces terres. Une des solution est d’ajouter l’intelligence à cette question telle que Parrot et les plantes connectées (Flower Power). Parrot en a profité pour présenter ses nouveaux drones grand publics (mini-drone de poche) ou professionnel (drone de cartographie 3D). Le leitmotiv de Parrot est d’ailleurs :
- Les objets connectés permettent de “foutre du Software partout !”
La question militaire est alors aussi évoquée pour la préservation du patrimoine de l’humanité en Afghanistan à l’aide de drone de cartographie 3D pour créer une version numérique du site archéologique. Mais aussi la reconstruction de la ville de Pompei avec les données archéologique obtenues depuis des années, cela permet aussi de donner une visualisation de la destruction du site au cours du temps.
L’évolution de la démographie pousse la population mondiale à vieillir, surtout en Europe qui va doubler le nombre de personnes de plus de 65 ans en 2030, avec des soucis de dépendance de plus en plus présent. Cela entraine le développement de la mèdecine participative pour inclure le malade dans son suivi, mais aussi les personnes saines dans leurs activités sportives (par ex. MyGeoNaute.com d’Oxylane, filiale de Decathlon).
Un homage a aussi été fait pour le Nabaztag avec son créateur Rafi Aladjan (Sen.se), qui lance sa mother et les cookies. La révolution n’est pas liée aux objets uniquement, mais bien sur les usages. La question est rapidement posée de la gestion des données personnelle.
La miniaturisation des composants permettent aussi de créer des caméras médicales pouvant être ingérées et pilotées dans le corps.
- Qu’en est-il au niveau des cellules ? Certainement possible dans quelques années avec le Big Data
Ce fut une vision intéressante de l’avenir qui se profile et de l’intégration de ces objets dans notre vie courante.
Fabrice Romelard [MBA]
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