Speakers: Laure de la Raudière, Marie Ekeland, Fabien Cauchi et Erwann Kezzar
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Cette session est sous le format d’un débat autour de l’évolution des besoins autour du développement informatique dans le cadre de l’éducation.
Après une présentation globale de la démarche de Mme de la Raudière pour instaurer une obligation d’ajout de cours de code dès les premières années scolaires. Dans le même sens les cours d’EMT doivent être remplacés par des cours de développement informatique et développement.
Les futurs employés doivent comprendre les interactions entre le business, le marketing et les développeurs qui sont de plus en plus intégrés aux applications à livrer. Le code ne doit pas être réduit “au code du permis de conduire” pour l’éducation nationale.
Les enfants sont demandeurs de ce type de formation, même dès le plus jeune âge, que ce soit au sein de cours ou encore durant les activités périscolaires, malgré la problématique de la langue de base qui n’est pas maîtrisée en sortie de primaire.
Il faut aussi noter que l’attractivité de cette filiaire est de plus en plus compliquée pour que ce soit pour les jeunes et surtout les filles. Les métiers informatiques n’ont pas une représentation paritaire homme/femme.
Les Rock Stars sont une des pistes pour augmenter cette attractivité au niveau des jeunes en mettant en lumière des actions plus proche de soit que les éternels exemples de FaceBook, Microsoft ou Google.
Une autre piste est de travailler sur le volume de personne sans emploi ou sorti du système, afin de mettre en place des formations accélérées adaptées aux besoins locaux.
Dans l’apprentissage, sans devenir réellement développeur, on trouve surtout une notion de recherche de l’information, de construction méthodologique, le respect d’un cadre, la gestion d’un planning, apprentissage d’un langage, … qui servira pour toute la vie de l’apprenti, quelque soit son métier final.
Conclusion
La question du manque de ressource est beaucoup plus général que simplement le manque dans la filiaire. En effet, les formations actuelles sont de moins en moins adaptées aux besoins des entreprises. Il suffit de regarder le nombre d’entreprise qui recherchent des personnes manuelles pour s’en convaincre.
L’informatique reste malgré tout un des plus grands axes d’avenir qui se retrouve dans notre quotidien. Si on ne gère pas cette problématique le plus rapidement, la pénurie de ressource prète à l’emploi.
Romelard Fabrice [MBA Risk Management]
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